Mon avis personnel sur l'histoire.

Dès le départ de l’histoire, nous rentrons facilement dans le contexte et nous découvrons des personnages aussi bien décrits les uns des autres. Si vous n’avez pas lu les livres précédents de Valérie Lys avec le commissaire Velcro, cela n’est point dérangeant du tout. 

L’auteur nous amène dans un lieu historiquement connu : Le mont Saint-Michel. Il nous permet aussi de découvrir de nombreuses légendes en rapport avec cet endroit. Au cours du récit, nous avons le droit à une visite entière de ce mont, mais aussi de la baie avec notamment la petite île granitique Tombelaine, au nord du mont Saint-Michel. Cela n’enlève rien au charme et  à l'intrigue de l’enquête policière. 

À certains moments, je me suis amusé à comparer cette histoire à la saga « Dolmen » où jouaient Bruno Madinier et Ingrid Chauvin. Comme celle-ci « Le Mont des légendes » possède tous les ingrédients et les réalisateurs de saga policière sur TF1, France 2 ou France 3 devraient jeter un œil sur les écrits de Valérie Lys.
 

Ce livre n’est pas qu’une enquête policière à mes yeux. C’est aussi un très beau guide touristique qui nous donne plus qu’envie d’aller découvrir « Le mont Saint-Michel ». Et dans cette histoire, on peut comprendre qu’en tant que touristes, on ne verra pas toutes les facettes de ce mont puis que des moines y vivent dans les hauteurs.

Les Montois et les Montoises peuvent être fiers du livre que Valérie Lys a écrit. Elle met en valeur l’histoire, le caractère religieux, mais aussi et surtout la solidarité qui demeure parmi les commerçants et le bien-vivre ensemble. 

Une petite pointe de regret quant à la fin de l’histoire qui à mon goût se termine trop rapidement. Bien sûr, on découvre qui est le meurtrier, mais tout n’est pas résolu pour autant. Y aura-t-il une suite ? J’aimerais bien, mais en tout cas, les enquêtes du commissaire Velcro n’ont pas fini de nous surprendre !  

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Lors de mes derniers avis, je ne vous parlais que du livre en lui-même. Il me semble important de vous parler aussi de l'auteur dans le cas où celui-ci n'est pas énormément connu. Je vais donc commencer aujourd'hui avec Valérie Lys. Il faut bien un premier pour tout.

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Qui est Valérie Lys ?

Comme vous pourrez le découvrir au dos de la couverture de ce livre, Valérie Lys est né dans le Val-de-Marne. Toutefois, elle vit en Bretagne dans les environs de Rennes. On comprend mieux pourquoi le commissaire Velcro y siège aussi ! À Rennes, elle y dirige un laboratoire d'Analyses Médicales, elle est médecin biologiste et se trouve aussi experte en réparation juridique et dommage corporel. 

C'est un auteur qui écrit dans différents genres depuis son enfance : nouvelles fantastiques, polars ... et l'une de ses sources d'inspiration sont ses multiples voyages. Le mont Saint-Michel doit certainement en faire partie ! Elle est passionnée de littérature et de peinture aussi. Sans oublier que c'est une femme mariée, maman de trois enfants. 

Malgré toutes ces qualités, Valérie Lys trouve quand même le temps de nous livrer de jolis récits comme le Mont des légendes. N'omettons pas de préciser qu'elle est aussi membre fondateur et vice-présidente du collectif rennais CALIBRE 35 dont l'objectif est de dynamiser la scène rennaise de l'édition polar. 

Voici quelques liens ci-dessous pour la découvrir encore plus en profondeur : 

— Sa page Facebook.

— Son profil Babelio

— Commander ses ouvrages aux Éditions du Palémon

Mon avis personnel sur l'histoire.

Dès le départ, l’auteur nous plonge dans une histoire dont on ignore tous les détails. C’est un peu déroutant comme écriture, mais c’est en tournant les pages que l’on découvre que nous nous trouvons au milieu d’une guerre en Yougoslavie, aux côtés d’une jeune femme qui se nomme Anna et qui se trouve institutrice.

On découvre toute l’horreur de la guerre, mais aussi le courage d’une jeune Française qui traverse le pays en bus avec des enfants réfugiés pour échapper à la guerre. Malheureusement, sa route s’arrête avant un pont puisque celui-ci se trouve miné.

Anna s’inquiète pour ces enfants qui ont dû quitter leurs parents dans la douleur. Elle devient à la fois leur boussole, leur point de repère, mais aussi leur bouclier. Et sur sa route, elle va croiser le lieutenant Damrémont. Entre eux, un coup de foudre surgit au beau milieu de la violence, de l’enfer. L’un et l’autre font preuve de courage et d’audace.

Dans la deuxième partie du livre, nous revenons en France, en région Parisienne, et l’on peut percevoir qu’ils n’ont plus peur de mourir à cause de la guerre. Cela dit, par l’égoïsme d’une démocratie, le règne du chacun pour soi, on voit deux personnages qui s’empêchent de s’aimer au grand jour.

Dans ce livre, il y a à la fois de la romance, de l’aventure, de la violence, du suspens, des interrogations et jusqu’à la fin, on se pose la question : « Arriveront-ils enfin à s’aimer l’un et l’autre ? »

Bien sûr, je ne vais pas vous donner la réponse à cette question. La seule chose que je peux vous révéler, c’est que je m’attendais à mieux comme épilogue.

Le début et la fin de l’histoire auraient pu être mieux rédigés et développés pour mieux s’intégrer dans cette romance, au centre d’une guerre et se sentir conquis par le dénouement.

Cela n’empêche pas que l’histoire en elle-même reste belle à parcourir.

Mon avis sur l'histoire.

C'est une très belle romance qui vous fait voyager de Paris à la région bretonne, écrite en 1993. Tous les personnages sont envahis par leur secret, leur mensonge et un passé extrêmement douloureux. Une histoire d'amour aurait pu naître mais un entourage familial avare a tenté y mettre fin. 

On ne peut que s'attacher à cette jeune femme " Fabienne Delcourt " qui finalement, tout au long de l'histoire a été manipulée, écrasée, bafouée, humiliée. Tout au départ, on comprend qu'elle a aimé sincèrement Marc qui a disparu du jour au lendemain sans qu'elle ne sache pourquoi.

Fabrice, le demi-frère de celui-ci avec le soutien de sa mère, se rapprocha de Fabienne et la séduit pour la demander en mariage deux mois après. Elle accepta car les intentions de Fabrice paraissaient touchantes, charmantes et six mois plus tard, l'enfer commença. 

Fabrice et sa mère étaient intéressés par une seule chose : l'héritage de Fabienne. Petit à petit, Fabrice lui prenait tout en la forçant à vendre un haras, un moulin jusqu'au jour, où dix ans plus tard, il lui demande de vendre le manoir de ses parents, ses souvenirs d'enfance.

Marc fit un retour subitement à la surface. Il a payé toutes les créances de son demi-frère mais ne compte pas lui en faire cadeau non plus. Non, il lui impose de payer la somme de 600 000 Francs, impérativement. S'il ne le fait pas, c'est la prison qui l'attend. 

Fabrice n'ignore pas que Marc aime toujours Fabienne, devenu désormais sa femme. Il la contraint avec le soutien de sa mère, à aller le retrouver. Ce sont des retrouvailles loin d'être joyeuse ! L'un comme l'autre pense avoir été trahi. Et Marc, malgré l'amour qu'il ressent toujours pour Fabienne, pense désormais ressentir à son égard que de la haine. 

Tout au cours de cette romance, on suit les pas de Fabienne Delcourt et l'on a qu'une seule envie, qu'elle puisse trouver le bonheur. On se demande bien comment la vérité va éclater. La belle-mère me fait un peu penser à celle qu'on peut retrouver dans le conte Cendrillon. Son beau-fils, elle ne le considère pas comme tel au contraire, elle le renie !

Une pointe de regret sur la fin de l'histoire qui aurait pu être un peu plus développée. Marc annonce à Fabienne sa version en dévoilant sa vie, son expérience, ses souffrances. Ce qui ne fut pas le cas pour elle. Est-ce que l'histoire se termine bien ? Arriveront-ils à faire abstraction de ce lourd passé douloureux pour vivre enfin leur histoire d'amour ? À vous de lire cette romance, pour le découvrir !

 Mon avis personnel sur ce roman.

L'histoire est à la fois intrigante, haletante. On y retrouve aussi quelques rebondissements. On reconnaît bien la plume de Dan Brown avec cet affrontement entre science et religion mais, on reste un peu sur notre fin quand on ferme le bouquin. Enfin, pour moi, c'est mon point de vue.

On remarque aussi un énorme travail sur les sciences comme sur l'intelligence artificielle. Moi, qui ne suis pas du tout scientifique, parfois, j'étais perdu dans le vocabulaire même si l'auteur a fait de son mieux pour que le lecteur reste accroché à l'histoire.

Quand on lit " Origine ", on pense au passé, d'où l'on vient. Mais ce qui m'a frappé, c'est que ce roman parle beaucoup plus du futur avec cette fameuse phrase qu'on peut lire souvent : " Où allons-nous ? "

Et puis, il y a ce personnage emblématique : " Robert Langdon ". On se dit qu'on va être de nouveau servi au niveau des codes et des symboles comme dans " Da Vinci Code ". Finalement, ses capacités pour décrypter sont peu nombreuses.

Dans ce livre, je découvre aussi un nouveau genre dans la plume de Dan Brown, " la romance ". Et personnellement, je trouve qu'elle aurait pu mieux se terminer. Elle s'est conclue avec cette citation

" L'amour est une affaire privée. Le monde n'a pas besoin d'en connaître les détails ".

Pourtant, j'aurais bien aimé savoir si Ambra finirait quand même par devenir Reine et si un miracle aurait pu se produire entre elle et le Prince qui est en voie pour devenir Roi.

L'auteur nous fait part d'une vision future qui peut à la fois faire peur, horrifié au premier coup d'œil et puis rassuré par l'intermédiaire d'un personnage étant futurologue " Edmond Kirsh ".

Effectivement, face à tous les exemples qu'il nous donne, on pourrait penser qu'on est, réellement, sur la voie de l'extinction de l'humanité. Oser l'annoncer pour 2050, c'est assez audacieux et effrayant ! Mais il est vrai qu'en 20 ans, le monde a fortement évolué !

Les guerres n'ont pas cessé, cette année nous avons tous été confinés par un virus mortel, le réchauffement climatique ne cesse de s'aggraver. Nous avons aussi connu une crise financière de 2008 à 2010 et on en prévoit certainement une autre pour très bientôt. Tout cela n'est pas très réjouissant. Qui aurait pu croire tout ça en 2000 ?

Et puis, à côté, on a permis à des gens de vivre un peu plus longtemps grâce au transplantation de cœur artificiel, nous avons vu un homme volé au-dessus de la manche, nos téléphones portables sont devenus de vrais ordinateurs dont on ne pourrait plus se passer. Pendant le confinement de 2020, on avait la chance de pouvoir faire des apéros virtuels au lieu de rester cloitrer seul entre quatre murs. Plus besoin de carte pour s'orienter, nous avons les GPS intégrés dans nos voitures. Plus besoin d'emporter une valise de CD pour la route des vacances, une clé USB suffit pour ça. On peut même faire nos courses par ordinateur et l'on prévoit tôt ou tard de supprimer les banques ! (Bon, je demande à voir quand même) Et puis, il y a encore tant d'autres choses !

Si l'on en fait un bilan de tout ça, l'évolution de la technologie éloigne les humains de leur humanité et les pousse à se laisser absorber par toutes ses inventions pour leur facilité la vie. Jusqu'au jour où elle prendra le pouvoir sur nous et, nous en arriverons à se considérer comme dans le film " Terminator ".

En tout cas, après avoir lu " Origine ", c'est à ce film que j'ai tout de suite pensé.

À certains moments, je trouve l'histoire un peu lourde et elle n'avance pas assez vite. De plus, l'intrigue, à mon goût, se termine trop rapidement. Il reste au moins plus de 150 pages quand on arrive à sa fin.

En tout cas, pour tous ceux qui aiment l'Espagne, c'est un livre que vous ne regretterez pas de lire car côté voyage, patrimoine et descriptions, vous êtes servi !

 Mon avis sur cet ouvrage.

Après avoir tourné la dernière page de ce livre, je n'ai pas pu m'empêcher d'émettre un sourire. Tout comme est construite sa couverture, cette histoire a plusieurs jolies couleurs.

Dans la première partie, j'ai apprécié l'innocence de ce jeune personnage " Ludovic " mais aussi son audace, sa ténacité à ne jamais abandonner. Et sans vouloir me vanter, moi qui m'appelle Ludovic, je suis de cette trempe. Dans la deuxième partie, c'est sa patience pour acquérir l'amour d'Adélaïde qui le considère toujours comme un enfant, même 15 ans plus tard. 

Ludovic et le voleur de regard possède aussi une couleur sombre car l'autrice aborde un sujet assez difficile : " le trafic d'organe ". Et du coup, notre cher Ludovic va voir son destin se transformer ! Il a tout pour plaire à Adélaïde sauf l'âge !

La présence des animaux a aussi une place importante et l'autrice nous démontre à quel point, il est précieux d'en prendre soin.

J'ai découvert dans cette œuvre, une plume agréable à parcourir. Dans la première partie, par le biais des personnages Ludovic et Théobald, l'autrice nous initie à comment devenir un bon écrivain. Il nous fait part aussi à de nombreuses références littéraires qui peuvent permettre à ceux, qui sont passionnés par les mots, comme moi, d'évoluer leur écriture. J'ai retenu la référence de Marcel Proust pour les descriptions, au-travers d'un passage sur une aubépine. Cela me donne envie de lire un de ses livres à M. Proust, par simple curiosité, pour voir.

L'histoire est menée avec beaucoup de finesse, de douceur et parfois même, je ressentais même un certain côté poétique qui laisse place en seconde partie à du suspens, des voyages, de la romance.

C'est un livre que je conseille fortement de découvrir. Il y a un pêle-mêle de sentiment : l'amour, l'amitié, l'orgueil mal placé, l'égoïsme ...

J'ai mis simplement quelques jours à le parcourir et je ne suis pas du tout déçu d'avoir découvert la plume d'Anne-Marie Bougret, autrice indépendante, qui à mes yeux, possède autant de talent qu'un grand écrivain. Je l'encourage donc à continuer dans cette voie.