Ma critique sur ce livre.

C'est une histoire qui se termine sur une promesse inachevée. Pourtant, cela paraît tellement évident !

Durant tout le récit, l'auteur, Jean-Guy Soumy, nous attache à cette jeune femme américaine s'appelant Grace. Celle-ci a une relation avec un homme bien plus âgée qu'elle et l'on se rend compte rapidement, qu'ils arrivent l'un et l'autre, au bout de leur histoire. Christopher, son mari, espérait se rapprocher d'elle durant ces vacances de fin d'année mais une tempête surgit dans la Creuse et va définitivement séparer ce couple comme une évidence, dans un accident de voiture au beau milieu d'une forêt totalement décimée.

Au départ, Grace apparaît comme une jeune femme égoïste, intrusive, se moquant totalement du malheur des autres. En parcourant cette histoire, nous comprenons qu'elle est ainsi parce qu'en vivant auprès de son mari et aux États-Unis, elle s'est forgée une attitude qui l'éloigne de sa réelle personnalité. Et dans cette forêt où il fait froid, la jeune femme va se trouver coupée du monde et réacquérir sa véritable nature, qui au départ, la trouble plus que tout. Grace qui pensait tout avoir à New York, va se rendre compte qui lui manque l'essentiel dans son Amérique, l'amour. Et ce sentiment, elle va le découvrir en croisant le regard du ténébreux Thomas, un homme souffrant de la disparition de sa fille, quelques années plus tôt dans cette forêt. Un homme qui se cache sous une apparence totalement trompeuse. 

Dans ce livre, l'auteur réussit à nous emmener aux valeurs essentielles de la vie où l'on se trouve totalement coupé du monde et où il faut se débrouiller par ses propres moyens. En quelques jours seulement, des relations humaines et riches s'installent parce que tout le monde s'entraide et se parle puisque personne n'a été épargné par cette tempête à la fin de l'année 1999.

Pour terminer, je dirais que la fin aurait pu être mieux réalisée. Même si cela nous paraît évident qu'ils se retrouveront, Grace et Thomas. Mais rien ne nous l'affirment et je trouve ça dommage. De plus, il y a certains passages dans le livre où il faut tenir car la description du paysage, des sentiments des personnages... amènent un peu de lourdeur et casse le rythme.

En dehors de cela, ce récit comporte tout de même une belle plume et je ne regrette en aucun cas de l'avoir lu.

Avis personnel sur ce nouveau volume.

Après avoir lu le tome 1, j'ai directement continué sur le tome 2. Contrairement au premier volume, il y a encore plus de personnages dans celui-ci et c'est malheureusement un défaut, à mes yeux, pour le départ de cette histoire qui se poursuit sept ans après la fin du Tome 1. Il y a très peu de description sur les nouveaux personnages et l'on peut s'y perdre très rapidement. On ne suit pas leur évolution comme dans le tome 1.

Au départ du récit, on suit et on s'attache vite au personnage de Kira, la pupille adoptive du Roi. On découvre son évolution, on voit sa difficulté de se faire comprendre par le grand chevalier Wellan qui par moment, peut nous taper sur les nerfs avec sa colère qu'il n'arrive pas à gérer. Et à côté de cela, on reste sur la fin de certains passages. D'un seul coup, nous avons un chapitre sur Chloé avec son écuyer Ariane. On assiste à la naissance des ailes de fées à Ariane mais on ne les suit pas jusqu'au Royaume des Fées. On ignore comment fait le Roi de ce royaume pour les lui retirer car on revient sur Kira et Wellan, directement.

L'essentiel du tome 2 se base surtout sur Kira. Et ce n'est qu'aux alentours de la 150è page qu'on assiste à l'apparition des premiers dragons de l'empereur noir. À la moitié du livre, l'histoire avec les dragons est résolu mais se poursuit avec le sorcier de l'empereur noir qui vient en personne. Les dragons disparaissent sans que nous soyons sûrs que ce soit réellement finis. Enfin, pour moi, ça n'a pas été clairement bien précisé.

Je trouve que ce titre à ce deuxième tome est mal choisi. J'aurais plutôt mis : " À la recherche de Narvath sur Enkidiev " par exemple. Narvath est le nom que le père de Kira, l'empereur noir, lui donne. Et tout ce volume se trouve basée sur elle. 

Sinon, côté point positif, l'histoire reste toujours aussi passionnante et agréable à poursuivre. La magie évolue et se trouve donc extrêmement présente. Il y a parfois des rebondissements, de la frustration, de la colère, de l'incompréhension. L'auteur donne toujours envie de découvrir la suite. Toutefois, pour des chevaliers qui sont aussi magiciens, on découvre beaucoup plus de stratégie que de combat. Il y a aussi de la romance entre Bridgess et Wellan, Chloé et Dempsey. Seul petit regret, contrairement au tome 1, on ne voit pas beaucoup le Roi intervenir. On ne le voit jamais s'intéresser aux missions de ses chevaliers d'Émeraudes. Il intervient vraiment qu'en cas d'extrême urgence ou simplement pour sa pupille.

Ayant tous les livres de cette saga en ma possession, je continuerai sur le tome 3 un peu plus tard car j'aurais peur sinon de me lasser des personnages. Toutefois, je reste curieux sur la suite des aventures, surtout avec le porteur de lumière. Je m'interroge sur qui ça pourrait bien être.

Ma critique sur cet ouvrage.

Dans ce premier tome et le début de cette saga fantastique et épique, Anne Robillard installe son histoire, présente ses personnages. En tournant les pages, je me suis nullement ennuyé. Effectivement, comme j'ai pu le lire, dans de nombreux commentaires sur Babelio, il y a beaucoup de personnages. Mais à mon goût, l'auteur a bien mené son récit. Après, c'est le point de vue de chacun. Je ne me suis nullement ennuyé en lisant ce premier tome en quelques jours. Grâce à l'auteur, on découvre de nombreux royaumes dans le continent d'Enkidiev. Le principal est celui du Roi d'Emeraude Ier d'où le titre de cette saga. Mais n'oublions pas celui des fées, celui des Elfes, etc.

Je vais continuer mes lectures sur le tome 2, directement, tellement j'ai été pris par ce récit qui m'inspire à écrire la suite de mon histoire fantasy " Justicia - Tome 2 " (Le tome 1 étant déjà disponible sur Amazon)

Anne Robillard que je ne connaissais pas, est devenue à mes yeux, une grande source d'inspiration pour écrire du fantastique et/ou de la fantasy. Il n'est jamais trop tard pour découvrir sa plume mais là, sérieusement, je ne le regrette pas.

Dans ce premier tome, il y en a pour tous les goûts ! Il y a de la magie, de l'amour, de la tendresse, de la fraternité, beaucoup de découverte au-travers des différents royaumes que nous parcourons. On retrouve aussi de la colère, de la peur, de la jalousie, des défis.

Bref, c'est bien écrit, c'est fluide et ce premier tome mérite largement d'être lu. Hâte de commencer la suite.

Difficile d'émettre une critique sur une histoire que la plupart des gens connaissent. Beaucoup l'ont découverte au-travers du film, pour d'autres, cela fut le livre. J'avoue que je n'ai pas de souvenirs d'avoir vu le film de cette histoire et en la relisant, je l'ai redécouverte. La dernière fois que j'ai dû la lire, c'était quand j'avais 15 ans. Aujourd'hui, j'en ai 34, je n'ai donc pas le même regard.

En tout cas, cette gloire à laquelle l'auteur fait référence à l'égard de son père est d'une humilité incontestable. Sans Marcel, Joseph Pagnol serait certainement rentré bredouille. Il faut dire que l'oncle Jules ne lui faisait pas de cadeaux non plus. On ne peut pas être parfait dès une première sortie dans un domaine auquel on ne connaît rien. Néanmoins, l'oncle Jules reste quand même bon joueur puisqu'il garde une photo de ce double de bartavelle.

Personnellement, je ne connais rien au domaine de la chasse mais dans ce livre, on découvre beaucoup de choses là-dessus et j'imagine que depuis, cela a dû bien évoluer comme dans tous domaines.

J'ai apprécié particulièrement dans cette histoire, la fraternité entre les deux frères, les relations familiales. On remonte bien loin dans le passé mais quelle bouffée d'oxygène provençale ! Dans cette histoire, on se rend compte qu'on s'éloigne de plus en plus de notre humanité avec toutes nos technologies pour améliorer notre quotidien. Dans la famille de Marcel Pagnol comme dans la plupart de nos aïeux, il en fallait très peu pour être heureux et les relations qu'entretenaient les parents avec leurs enfants étaient si proches ! On vivait avec les moyens de bords car on n'avait pas le choix et l'on était tout autant heureux !

Un peu, avant la fin de l'histoire, je me suis un peu perdu dans les descriptions de l'auteur lorsqu'il se perd dans la nature. Je les ai trouvées par moment, assez longues. Néanmoins, on voit à quel point son père était instituteur et prenait soin de l'éducation de ses enfants, par les mots qu'il emploie dans son histoire, en sachant qu'il s'y trouve aussi passionné par eux.

J'ai apprécié cette phrase de l'oncle Jules : " Quand on n'a pas de chien, il faut avoir des enfants ". La gloire de mon père est une histoire que l'on doit à un enfant portant beaucoup de fierté et de respect pour son papa. Je terminerai donc en disant qu'elle est à lire bien sûr parce qu'elle est très instructive autant sur le plan de la chasse, de la nature que sur le plan familial.

Mon avis personnel sur cet ouvrage.

Il est difficile de trouver les mots justes après avoir lu, un tel livre. L'auteur nous amène à la découverte d'un royaume et dans celui-ci, on y trouve principalement la vie. 

Laurent Cassagne nous partage des souvenirs, des connaissances, des émotions, des pensées ... par le biais d'un personnage qu'on a plus que tout envie de rencontrer : Sacha. 

Ce livre possède plusieurs genres d'écriture. Il est à la fois romancé mais à certains moments, on peut le considérer comme le conte d'une vie passée. C'est une douceur sucrée. Et par les yeux bleus des grands-parents à Sacha, on peut percevoir la méditerranée.

Cet ouvrage est une bouffée d'oxygène. Il peut être aussi considéré comme des mémoires ou le témoignage d'un homme sur son enfance et adolescence. Et surtout, ce que j'ai ressenti profondément c'est cette âme d'enfant qui aime plus que tout au monde, ses grands-parents. Une âme d'enfant qui a pour seuls amis les animaux, la végétation. Il lui parle et répond aux répliques qu'il croit entendre. De plus, on découvre une vie bien différente de celle que l'on peut connaître en ville. C'est la vie de montagnards à la campagne où il en faut vraiment très peu pour être heureux.

Au fur et à mesure qu'on tourne les pages, bien sûr, Sacha grandit et va commencer à se trouver confronter à la mort quand certains de ses proches commenceront à disparaître. Une nouvelle fois, l'auteur sait utiliser les mots qu'il faut et jusqu'à la fin de ce livre, on ressent beaucoup d'émotions, de nostalgie, de réflexion. 

La religion a aussi une place importante dans cette histoire, d'où son titre " Notre Dame ... " en référence avec ce sanctuaire religieux l'Ermitage Notre-Dame de Vie, situé au sud-ouest d'Argelès-sur-mer. Quand aux " yeux bleus ", l'auteur se réfère à la couleur des yeux aux grands-parents de Sacha, le symbole de toute une vie.

Laurent Cassagne, aborde aussi le thème de la mort et par ses mots, ne nous en effraie pas. Au contraire, nous comprenons qu'il faut la prendre comme une acceptation, une continuité de la vie, une réincarnation et non comme une séparation, une douleur ou un déchirement.

En tout cas, c'est un livre que je vous conseille fortement de découvrir. Tous les personnages de cette histoire y compris les animaux, ont leur rôle dans le royaume de Sacha et parfois même, on pourrait se demander si nous-mêmes, nous n'avons pas non plus, notre rôle à jouer à ses côtés. 

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Qui est Laurent Cassagne ?

C'est un auteur qui vit à Argelès-sur-mer, dans les Pyrénées-  Orientale en France. C'est aussi le village de ses grands-parents catalans, à qui il rend hommage dans cet ouvrage ci-dessus. 

Il se réfugie dès l'âge de ses 13 ans dans l'écriture avec des poèmes. Et la veille de son baccalauréat, à 18 ans, il fait prendre naissance à son premier livre " Simultanéisme ". 

À ses yeux, le livre reste un simulateur d'émotion et une évasion pour l'esprit. 

Passionné et portant un intérêt particulier aux grands auteurs, depuis son enfance, il se construit sa propre culture et va continuer sur sa lancée en écrivant d'autres ouvrages comme " Le calice du silence " ou dernièrement " Kristina ". 

Dans ses écrits, il aborde différents thèmes qui lui tiennent à coeur comme l'amour parental et ses secrets, la force de l'au-delà, la violence enfantile, la faim dans le monde, la liberté, le pouvoir de la mer sur la magie de la vie ...

Concernant sa plume, il vous dira qu'elle est à la fois joyeuse, émotive, sincère, combative, puissante, amoureuse de l'importance donnée à autrui. 

Laurent Cassagne n'est pas qu’auteur, il est aussi poète. Sur sa route, il a rencontré un musicien avec lequel, il a réalisé un album poétique : " Embruns de l'âme ". 

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Si vous souhaitez avoir plus de renseignements sur lui ou commander certains de ses ouvrages. Voici quelques liens ci-dessous : 

— Sa page Facebook.

— Écouter sur YouTube, l'album " Embruns de l'âme ".

— Commander son dernier livre " Kristina "

— Commander le livre " Le calice du silence ".